-
Par adely_lamauve le 6 Décembre 2005 à 22:58
Ma souris est abimée...
Le chat a joué toute la journée...
Un coup de patte l'a mise k.O...
Elle ne me montre même plus son museau !
j'ai trouvé une autre souris pour la remplacer... N'est-elle pas jolie celle-ci ?
2 commentaires -
Par adely_lamauve le 4 Novembre 2005 à 14:15
Il faut que je peigne les murs de mon appartement...
Tout d'un coup les pièces me paraissentt bien grandes, le plafond bien haut et le couloir interminable... J'ai l'impression d'habiter un grand edifice !
Ouh la la ! Voilà que je baisse déjà les bras !
Mais comment ils ont fait tous ceux qui ont fait des fresques sur les murs ? Même avec un pinceau n° 12, ils devaient avoir du courage et de la passion pour cet art !
2 commentaires -
Par adely_lamauve le 24 Octobre 2005 à 01:28
Quand je pense à toi...
Je suis comme un papillon de nuit
Attirée par ta lumière, je tourne autour de toi,
M'approchant toujours plus près jusqu'à me brûler les ailes.
Plus je veux atteindre le cœur de cette lumière, plus je souffre.
Malgré tout j'insiste comme hynoptisée.
De temps en temps, je m'éloigne pour reprendre mon souffle.
Dans les profondeurs de la nuit,
Il y a d'autres lumières qui brillent, mais si faiblement,
Que je n'ai pas envie de les observer plus longtemp.
Alors je reprends mon élan,
Et, tout en sachant ce qui m'attends,
Je fonce vers toi pour tournoyer dans le halo de ton cœur inaccessible.
Quelle douleur, mais aussi , quelles sensations merveilleuses !
votre commentaire -
Par adely_lamauve le 20 Octobre 2005 à 10:24
créations artistiques à cette adresse :
http://c.reguin.over-blog.com/#
Merci de passer un petit moment dans cette exposition virtuelle !
7 commentaires -
Par adely_lamauve le 12 Octobre 2005 à 15:12
Ils ont dit : Dieu merci, elle est vivante !
Elle a dit : voici sa chaise roulante.
Ils ont dit : c'est mieux qu'un tombeau.
Douze mots, huit de trop !
J'ai hurlé : cette chaise est mon cerceuil !
Ils n'ont pas entendu crier mon coeur.
S'ils avaient vu la larme au coin de mon oeil;
Ils auraient lu l'intensité de ma douleur.
Et le cousin ne cessait de répeter :
"C'est ma faute tout ce qui est arrivé"
On le plaignait, l'entourait, le réconfortait,
Tandis que je restais toute seule avec mon corps muet.
4 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique