-
-
Je lâche tout quand il y a mon emission préférée sur la 5 ! Mais regardez donc ces beaux oiseaux et ces drôles de bêtes qui courent... Je connais les chevaux : je faisais du slalom entre leurs pattes mais pas ces bêtes là ... pfff !!! Jamais vues ! ( des guanacos)
votre commentaire -
Je croyais que je pouvais indéfiniment maîtriser mes pensées. J'avais tort : il y a un moment où l'esprit se relâche offrant une porte ouverte à l'intrusion soudaine d'images imprévisibles.
Au début quand rien n'était très important entre lui et moi, je pouvais penser de temps en temps à lui quand cela me plaisait, comme quand on lit un bouquin pour s'occuper un moment... Puis nos sentiments ont évolués, tout à changé.... Un jour j'ai écris le texte suivant.
... « Je marche en réfléchissant à mes problèmes quotidiens tout en admirant la nature en plein éveil : la fougère qui déroule sa tige d'un vert si tendre que l'on a envie de la croquer, la procession d'un escadron de fourmis, le vol furtif d'un oiseau intrigué par ma présence...
Et, soudain, au détour d'un chemin, au bord de ce ruisseau gazouillant, tu es là, me tenant la main. Je croise ton regard tendre qui m'éclabousse d'un rêve plein de sensualité.
Mon cœur s'affole, des images de souvenirs vécus ou imaginés se superposent . J'étouffe de ce besoin de me jeter sur toi pour assouvir toutes mes faims.
Faim de toi...
Besoin de te toucher, de sentir ton corps chaud se presser contre moi...
Besoin d'entendre ton rire, le son de ta voix...
Besoin de fixer mon regard sur toi pour remplir ma tête de films où tu serais l'acteur principal...
Besoin de te voir vivre avec tes amis pour étudier ton « vrai » toi...
Besoin d'avoir mal quand je suis près de toi, torturée entre le remord d'avoir laissé mon cœur t'aimer à en souffrir et la peine que j'éprouve quand je constate que malgré nous nos projets ne se réalisent pas...
J'avais laisser entrer de force , en moi, un fantôme de toi que je manipulais comme une marionnette au gré de ma fantaisie pour me distraire mais, à présent, c'est toi qui t'impose à mon esprit, me surprenant n'importe où quand je ne t'attendais pas ou quand mon esprit était déjà loin de toi.... »
Pensée ...tu ne me donnes que du virtuel... mais ça fait du bien quand même ...
2 commentaires -
Deux chansons de Charles Aznavour pour toutes les personnes qui connaissent actuellement la fin d'une passion ...
Titre C'est fini Interprète Charles Aznavour Je ne peux détacher
Mes yeux de ton visage
Et ne peux m'empêcher
De penser à demain
Qui s'annonce déjà
Comme un mauvais orage
Qui lavera nos rires
A l'eau de mon chagrin
J'ai le cœur déchiré
Et j'ai mal de comprendre
Que les mots que tu dis
Veulent tous dire adieu
Je regarde sans voir
J'écoute sans entendre
Le chagrin me surprend
Debout silencieux
Je rêve de passé
Quand le présent t'emporte
Qu'il ne me reste plus
Qu'à te serrer la main
Je voudrais la garder
Mais nos amours sont mortes
A deux pas de mon cœur
Tu es déjà si loin
C'est fini fini fini fini fini fini fini
Se peut-il qu'un bonheur
Qui tenait tant de place
Et donnait tant de joie
Disparaisse à jamais
Effaçant de ta vie
Même jusqu'à la trace
Du moindre souvenir
Que l'amour nous a fait
Je ne sais comment faire
Et je ne sais que dire
Je veux paraître fort
Une dernière fois
Les larmes au coin des yeux
Je me force à sourire
D'un sourire forcé
Qui ne te trompe pas
Trop lâche pour mourir
Bien qu'effrayé de vivre
Je compte sur l'oubli
Pour trouver le repos
Il faudra m'habituer
Dans les années à suivre
A des jours sans ta voix
A des nuits sans ta peau
C'est fini fini fini fini fini fini fini...Titre Il faut savoir Interprète Charles Aznavour Il faut savoir encore sourire
Quand le meilleur s'est retiré
Et qu'il ne reste que le pire
Dans une vie bête à pleurer
Il faut savoir, coûte que coûte
Garder toute sa dignité
Et malgré ce qu'il nous en coûte
S'en aller sans se retourner
Face au destin qui nous désarme
Et devant le bonheur perdu
Il faut savoir cacher ses larmes
Mais moi, mon cœur, je n'ai pas su
Il faut savoir quitter la table
Lorsque l'amour est desservi
Sans s'accrocher l'air pitoyable
Mais partir sans faire de bruit
Il faut savoir cacher sa peine
Sous le masque de tous les jours
Et retenir les cris de haine
Qui sont les derniers mots d'amour
Il faut savoir rester de glace
Et taire un cœur qui meurt déjà
Il faut savoir garder la face
Mais moi, mon cœur, je t'aime trop
Mais moi, je ne peux pas
Il faut savoir mais moi
Je ne sais pas...Texte soumis aux droits d'auteur
Réservé à un usage privé ou éducatif
Texte trouvé surhttp://www.ftpk.net/paroles.html
Et courages à toutes et tous ... la vie continue !
5 commentaires